Pur produit Toulousain, né en 1975, appartenant théoriquement à la «génération X», je suis un prototype de la «génération Y», la Digitals Native ou aussi appelé la «génération C» pour « Communication, Collaboration, Créativité, Connectivité » (en anglais : « Computer, Click, Connected »)
C’est-à-dire que j’ai eu la chance d’avoir un environnement propice aux nouvelles technologies. Mon premier ordinateur, en 1986, un Thomson TO8 qui avait comme principale fonction, la programmation (basic). Du fait que ma mère travaillait dans la recherche, j’ai pu bénéficier d’une connectivité à internet tôt. J’ai fait partie des utilisateurs de service maintenant disparu comme Caramail, Lycos, Altavista, MySpace et bien d'autres.
En 1994, j’ai acquis mon premier PC, suivi d’un upgrade en 1996 pour passer sur les premiers Pentium® et Windows 95®.
J’ai fait mes premières armes dans le cœur des machines chez un assembleur, à monter des PC, à pucer des Playsation, à graver des CD et DVD grâce à du SCSI. Mais aussi à monter des OS alternatifs (Redhat®, Mandrake®, BeOS®, etc…). Cette envie d'expérimenter reste fortement ancrée en moi. C’est d’elle que vient mon intérêt pour l’impressions 3D (SLA, FDM), ou les nano-ordinateur (Raspberry Pi, Orange Pi, etc…).
Je suis un joueur (mais pas d’argent). Vivant des aventures aussi bien dans des mondes médiévaux-fantastiques, à la sauce « Seigneur des anneaux », grâce à Donjon & Dragon que des épopés spatiales à la Star Wars ou Star Trek (oui je suis fans des deux, du moment qu’il y a «Star» dans le titre, j’aime que ce soit aussi bien Stargate ou BattleStar Galactica, mais pas « Dance avec les stars »).
J’ai eu la chance de pouvoir vivre de ma passion en étant propriétaire de ma propre boutique, mais le COVID a tué mon rêve avant même qu’il ait eu le temps de prendre son envole. Même pas une année après l’ouverture, obligé de fermer pour confinement, suivi d’une interdiction de réunion, difficile d’organiser la promotion d’une nouvelle boutique. Quand les fonds ont fini par totalement fondre, j’ai préféré fermer au lieu de sombrer. Pour moi, ça n’a pas été une mauvaise expérience, j’ai encore appris et progressé. J’ai rencontré des gens et des amitiés sont nées.
J’ai trois bambins, les chiens ne faisant pas des chats, le 1er est dans des études d’informatique (BTS), le 2ème est un hacker (un white hat) en puissance, et la 3ème est plus une gameuse (et pas que jeux vidéos). Alors à la maison, on ne s'ennuie pas.